Les substances nocives peuvent également être utiles !

La première place ici est la moisissure, ce qui n’est pas très agréable pour la plupart d’entre nous, mais les scientifiques le considèrent comme un organisme très important. La pénicilline, qui est répandue comme antibiotique, provient d’un moule, et la moisissure sur le pain aide aujourd’hui les scientifiques à comprendre comment certaines espèces sont produites et adaptées à l’environnement.

Et parce que ce moule produit des spores dans un cycle de 24 heures, il aide également les professionnels à identifier les composants qui régulent le sommeil, l’éveil et d’autres rythmes de vie.

Deuxièmement, mentionnons les excréments, auxquels nous n’aimons pas non plus penser, bien qu’en examinant les excréments, les scientifiques peuvent apprendre beaucoup sur la nature des bactéries en nous. Dans une étude, par exemple, il a été observé que chaque individu a ses propres bactéries, mais il existe de nombreuses similitudes entre les membres de la famille. Cette découverte peut nous aider à comprendre comment les microbes affectent nos processus physiologiques et comment ils peuvent être manipulés au profit de nous.

Troisièmement, considérez un polluant toxique appelé oxyde nitrique (NO), qui est inhalé principalement à partir de l’échappement des voitures, mais il est également très utile pour notre système cardiovasculaire, la fonction cérébrale et le système immunitaire. Il dilate les artères, active les cellules nerveuses et augmente le nombre de globules blancs qui aident à éradiquer les bactéries et les parasites. (Malheureusement, il y a d’autres substances dans les gaz d’échappement, qui, à leur tour, sont particulièrement nocives).

Quatrième substance étonnamment utile est le soufre d’hydrogène, que la plupart d’entre nous pensent de la puanteur des égouts et des eaux usées, même si certaines cellules de notre corps produisent de petites quantités de ce gaz, à un moment où quelque chose ne va pas S) peut également aider les scientifiques à comprendre la maladie d’Alzheimer et la maladie de Parkinson.

Si nous ne sommes pas assez surpris maintenant, mettons le poison de rat à la cinquième place. La warfarine, l’un des médicaments les plus couramment prescrits dans le monde, est dérivée d’un trèfle qui a causé le saignement mystérieux de nombreux bovins dans les années 1920. Les scientifiques ont ensuite réussi à identifier l’extrait, qui a d’abord été utilisé pour fabriquer du poison de rat, puis pour développer un nouveau médicament qui anticoagule le sang. Aujourd’hui, des millions de personnes dans le monde entier reçoivent chaque année la warfarine pour prévenir la formation de caillots sanguins dangereux, ce qui peut même provoquer une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral ou la mort instantanée.